Ετικέτες

Τετάρτη 11 Ιανουαρίου 2017

Impact pronostique du choix de la première ligne thérapeutique et de la connaissance des résultats des biomarqueurs chez les malades atteints de cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) étendus en France : résultats de l’étude IFCT PREDICT.amm

alertIcon.gif

Publication date: January 2017
Source:Revue des Maladies Respiratoires, Volume 34, Supplement
Author(s): J. Cadranel, E. Quoix, M. Duruisseaux, S. Friard, M. Wislez, C. Daniel, E. Fabre, A. Madroszyk, V. Westeel, P. Merle, H. Léna, E. Dansin, J. Mazieres, A. Scherpereel, S. Hiret, C. Kaderbhai, P.-J. Souquet, P. Missy, A. Langlais, F. Morin, G. Zalcman, D. Moro-Sibilot, F. Barlesi
IntroductionEn 2013, il était recommandé dans les CBNPC étendus d'administrer un doublet de chimiothérapie à base de platine (PCT), avec du bévacizumab (BEV-PCT), un ITK-EGFR ou une CT sans P (nonPCT) en fonction des caractéristiques cliniques, histologiques et moléculaires du CBNPC. En France, ces tests moléculaires sont accessibles pour tous les CBNPC étendus. Cependant, leur impact pronostique pour la 1re ligne est mal connu.MéthodesKRAS, EGFR et ALK ont été évalués chez 843 CBNPC étendus consécutifs non pré-traités. Le statut a été classé en 5 groupes : EGFR+ ou ALK+, KRAS+, sauvage (S), indéterminé (I), non fait (NF) et les traitements en 4 groupes : PCT, BEVA-PCT, ITK, nonPCT. La survie globale (SG) et sans progression (SSP) ont été renseignées pour chaque ligne. Une analyse pronostique a été réalisée incluant les classes moléculaires (réf. sauvage) et thérapeutiques (réf. P-CT) comme variables d'intérêt.RésultatsLes traitements ont été classés chez 767 (91,0 %) des 843 CBNPC inclus entre 01/2013 et 02/2014. Les patients étaient des caucasiens à 93,1 %, des hommes à 66,2 %, âgés de 62,4ans (28–92). Au total, 13,4 % étaient non-fumeurs ; 21,4 % de PS≥2 et 90,3 % de stade IV et 76,5 % avaient un adénocarcinome ; 14,5 % un épidermoïde et 9 % d'autres histologies. Les statuts moléculaires étaient : S=40,4 %, KRAS+=23,1 %, EGFR+/ALK+=10,2 %, I=5,1 % et NF=21,2 %. La 1re ligne était PCT=75,9 %, BEVA-PCT=14,2 %, ITK=7,8 % et nonPCT=2,1 %. Avec un recul médian de 30,3 mois, la SG médiane était de 10,7 mois et la SSP de 5,3 mois. Les facteurs indépendants associés à la SG étaient un PS≥2 (HR=2,08, p<,0001), un statut KRAS+, I ou NF (HR=1,40 p=,002 ; 1,53, p=,02 ; 1,29, p=0,02) et un traitement par nonPCT en 1re ligne (HR=1,92, p=0,01). Un statut EGFR+/ALK+ (HR=0,38, p<0,0001) et un traitement par BEVA-PCT (HR=0,54, p<0,001) étaient associés à une meilleure SG. Il n'y avait pas d'interaction entre le statut moléculaire et l'effet observé sur la SG en fonction du type de 1re ligne. Un traitement par BEVA-PCT était associé à une meilleure SG dans les CBNPC KRAS+ ou S (p<,0001 et<0,0003, respectivement) comparée à celle sous PCT. Un TKI ou une PCT en 1re ligne n'affectait pas la SG chez les CBNPC EGFR+/ALK+.ConclusionL'étude IFCT-PREDICT.amm montre que le pronostic des CBNPC avancés pourrait être optimisé en 1re ligne par la connaissance du statut EGFR/ALK, mais aussi par un traitement par BEVA-PCT, en particulier dans les CBNPC KRAS+ ou S.



http://ift.tt/2j7kAzV

Δεν υπάρχουν σχόλια:

Δημοσίευση σχολίου

Αναζήτηση αυτού του ιστολογίου